Si l’action publique environnementale peut s’avérer efficace à l’échelle mondiale pour des enjeux transnationaux comme la pollution de l’air, elle peut également l’être à l'échelle locale, nationale ou européenne.
Le principe de subsidiarité préconise une approche multi-échelles de l’action environnementale, privilégiant le niveau géographique le plus pertinent pour chaque problème (local, régional, national ou supranational). Ainsi, la gestion des déchets est mieux assurée par les communes que par les États.
Pour une plus grande efficacité, une articulation complémentaire entre les différents niveaux d’action publique est indispensable.
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